Mon ami Erik Erikson !

Erikson apporte trois contributions majeures à l’étude du moi. Les voici :

Les caciques de l'establishment freudien lui font grief de voir l’homme sous un jour trop optimiste et de surestimer les capacités à se guérir soi-même. Toutefois, et c'est en cela qu'il me plaît, son point de vue fait contrepoids à la vision négative de l’homme qui est celle de l’école freudienne. Le schéma eriksonien des stades de la vie se décompose comme suit.

Je vérifie chaque jour - avec amertume ou espérance - la pertinence des propos de mon vieux maître.



Joseph avec l'aide d'Encyclopédie Universalis